En date du 07 mars 2022, et en prélude à la 37ème ÉDITION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE LA FEMME, WPMC a organisé une table ronde sur le thème : « LES CONSÉQUENCES DES CONFLITS ARMÉS SUR L’ENVIRONNEMENT AU CAMEROUN: LA CONTRIBUTION DES FEMMES DANS LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT À TRAVERS LA PRÉVENTION ET LA GESTION DES CONFLITS. »
La journée a debuté par le mot de bienvenue du chargé des programmes de WPMC en la personne de M. Bertin ALIMA et de la coordonatrice adjointe Mme Armelle AKANA, épse TONLEU. Après une brève présentation du panel, le débat a tout de suite été ouvert et chaque panéliste pouvait prendre la parole pour exprimer son idée sans protocole. Les opinions ont été exprimées autour de trois grandes idées qui étaient entre autres:
– L’ impact des conflits armés sur l »environnement, les femmes dans le processus de paix au Cameroun: entre implication et plafonnement de verre, la contribution des femmes camerounaises dans la prévention des conflits et la protection de l’environnement. Il en ressort que pour marquer de manière significative leur implication dans la protection de l’environnement, les femmes doivent poser des actions concrètes. Les femmes membres des associations, ONG doivent constituer un réseau national voire transnational afin de mieux faire entendre leur voix. En outre après les conférences et débats, les pairs éducateurs doivent se rendre dans les communautés afin de les sensibiliser et de les informer des pratiques qui participent à la préservation et à la protection de l’environnement. Il faut reboiser Après chaque coupe d’arbres, afin de limiter la déforestation et la désertification;
Réduire l’utilisation du bois de chauffage et le remplacer par d’autres sources d’énergie telles que les plaques solaires utilisées par les réfugiés du camp de Minawao. On note que les participants ont été suffisamment édifiés, surtout, au niveau du rôles et missions de la Femme en temps de conflits armés.
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